Cinq cabinets sur le rachat de GMD
épilogue. Enclenchée mi-mai, à l’issue de longs mois placée sous l’égide du Ciri, la vente de Groupe Mécanique Découpage (GMD) au producteur chinois de composants électroniques DSBJ a été finalisée le 30 octobre. Comportant également un volet concernant la restructuration des dettes bancaires et obligataires du sous-traitant automobile tricolore, les accords de cession signés avec cette filiale de Suzhou Dongshan Precision Manufacturing, un groupe industriel coté à la Bourse de Shenzhen, ont été homologués par le tribunal des activités économiques de Nanterre. L’enjeu était de taille : il s’agissait de préserver l’industriel étranglé par environ 400 M€ de dettes, mais dont le travail de ses quelque 6 500 salariés dans le monde – dont un peu moins de 2 000 en France – lui avaient permis d’enregistrer un chiffre d’affaires 2024 excédant 1 Md€.

