Trois cabinets sur le litige NRJ / Fun Radio
Lorsque l’animateur Bruno Guillon avait invité les auditeurs à indiquer à Mediametrie qu’ils écoutaient Fun Radio, fin 2015, les grandes radios concurrentes avaient estimé qu’il y avait une volonté de manipuler les mesures d’audience. Une position retenue par le tribunal de commerce de Paris, le 23 janvier, à l’issue d’une action en justice entamée par NRJ Group en 2016. Il a condamné Fun Radio et Métropole Télévision (son actuel propriétaire) à lui verser plus de 10,3 M€ de dommages et intérêts pour avoir diffusé ces messages, et 1 M€ à M Radio.