Stéphane Bloch rejoint Ogletree Deakins

Réputé pour son grand savoir-faire en droit social applicable au secteur public, notamment pour les entreprises dites « à statut » et en droit de la fonction publique, il conseille une clientèle de collectivités publiques et d’entreprises du secteur au sein desquelles coexistent du personnel à différents statuts publics. Stéphane Bloch intervient sur des dossiers de restructuration et de relations individuelles et collectives de travail, aussi bien en conseil qu’en contentieux. « Ma pratique est de plus en plus en recherchée par les cabinets de droit social en raison notamment de la convergence qui se confirme entre le droit de la fonction publique et le droit du travail, le sujet de la négociation collective en étant un exemple topique », explique-t-il. Les dossiers ne manquent pas. Il intervient notamment dans les secteurs financier, aérien, énergétique… Bref, là où l’État laisse sa trace.

Titulaire d’un DEA de droit privé (Paris I, 1985), d’un DEA de droit international privé (Paris I, 1987), et diplômé du Centre universitaire d’études politiques de Nancy, il a débuté sa carrière dans le cabinet de Pierre Sanglade en 1987, avant de rejoindre Nordmann-Levy en 1990, puis Frêche & Associés trois ans plus tard. Il a été associé chez KGA Avocats de 1996 à 2018, avant d’intégrer les équipes de Flichy Grangé Avocats (cf. LJA 1360). Il rejoindra, au début du mois prochain, le bureau parisien d’Ogletree Deakins qui confirme ainsi ses ambitions de développement dans l’hexagone. « Au-delà d’avocats avec lesquels j’ai déjà beaucoup de convergences, c’est aussi une structure à la stratégie de déploiement dynamique, réfléchie et structurée que je rejoins. Je vais pouvoir continuer à y développer une pratique axée en particulier sur le droit social du secteur public, en complémentarité avec l’équipe qui compte une vingtaine d’avocats », explique le nouvel arrivant.

Cécile Martin, managing partner du bureau parisien d’Ogletree Deakins explique : « Avec l’arrivée de Stéphane Bloch au sein de notre cabinet, nous allons pouvoir proposer à nos clients une offre de services multi-facettes en droit social (GDPR, restructurations, enquêtes internes, droit social du secteur public, droit de la fonction publique, etc.). » Et Jean-Marc Albiol d’ajouter : « Ce volet que l’on peut qualifier de « droit administratif du travail » vient compléter notre structure de pure clientèle institutionnelle française qui est au cœur de notre stratégie actuelle et future. » Le cabinet compte désormais cinq associés en France. D’autres recrutements sont d’ores et déjà anticipés à Paris, mais également en régions. L’idée est d’atteindre une taille critique de 50 professionnels. Avec toujours pour objectif d’encourager le partenariat entre les avocats, dans une ambiance sereine et amicale.