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Trois cabinets sur l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi

Par LA LETTRE DES JURISTES D'AFFAIRES

D’ici à la fin de l’année, l’alliance Renault-Nissan- Mitsubishi aura terminé de négocier son virage stratégique. Telle est la teneur de l’annonce faite le 6 février dernier par les trois constructeurs d’automobiles, déjà unis depuis une vingtaine d’années. Au programme de leur accord : le renforcement de la gouvernance de l’alliance tripartite et l’ajustement des participations croisées entre les deux premières marques, désormais établies à 15 % mais assorties de droits de vote et figées pour les 15 ans à venir. Une évolution majeure, qui impliquera le transfert dans une fiducie française de 28,4 % des titres supplémentaires de Nissan que Renault possède, en vue de cessions envisageables dans le futur.

Skadden a conseillé Renault Group avec, à Paris, Armand Grumberg, associé, Julien Zika, european counsel, Pierre- Hadrien Darriet, Natalia Rotaru et Clémence Gendre, en corporate, François Barrière, french counsel, en fiducie, Thomas Perrot, associé, et Margaux Lizé, en fiscal, Pascal Bine, associé, et Wesley Lainé, sur les investissements étrangers.

Latham & Watkins a représenté Nissan avec, à Paris, Olivier du Mottay et Charles-Antoine Guelluy, associés, en corporate et investissements étrangers, Jacques-Philippe Gunther, associé, en concurrence, et Fernando Mantilla-Serrano, associé, en arbitrage international.

Darrois Villey Maillot Brochier a assisté l’État français, avec Bertrand Cardi et Laurent Gautier, associés, Hadrien Bourrellis, counsel, Léonor Boulanger et Youssef Driouich.