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Deux cabinets sur le rachat de Duralex par International Cookware

Par LA LETTRE DES JURISTES D'AFFAIRES

L’offre d’International Cookware, la maison mère de Pyrex, pour le rachat de la verrerie Duralex, a été validée jeudi 28  janvier par le tribunal de commerce d’Orléans.

L’entreprise avait été placée en redressement judiciaire le 23 septembre dernier.

L’exploitant de la marque Pyrex, détenu depuis avril 2020 par Kartesia, va s’acquitter d’un prix de 3,55 M€, auquel s’ajoute un important plan d’investissement de 17 M€ sur la période 2021-2024, dont 12 M€ injectés la première année pour relancer la verrerie de La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret).

International Cookware maintient les 248 emplois (excepté deux cadres dirigeants) et promet même des embauches si la production repart à la hausse.

Il entend aussi faire naître des synergies commerciales avec Pyrex dont l’usine est située à Châteauroux, à 150 kilomètres d’Orléans.

Gibson Dunn a épaulé International Cookware, avec Jean-Pierre Farges, Bertrand Delaunay, associés, et Lauriane Chauvet.

AJ Associés est intervenu en qualité d’administrateur judiciaire de Duralex.

Carlara Avocats a assisté Duralex ainsi qu’Antoine Ioannidès, ancien dirigeant et actionnaire, avec Antoine Poulain et Amandine Rominskyj, associés.

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